bts maritime pêche et gestion de l environnement marin
pêche et gestion de l’environnement marin » du brevet de technicien supérieur maritime fixant ses conditions de délivrance et les modalités d’admission dans les sections de cette spécialité Page 3 ANNEXE I CLASSE DE MISE A NIVEAU DU BTSM PGEM Page 8 Finalités des études Page 8 Objectifs généraux de la formation Page 8 Horaires d'enseignement Page 9 Formation en
Onisepfr, l'info nationale et régionale sur les métiers et les formations. Accueil; Lycée maritime et aquacole; BTS maritime pêche et gestion de l'environnement marin
Précédent4 567 8 Suivant PORTES OUVERTES DANS LES RÉSERVES NATURELLES DU MARAIS POITEVIN. Patrimoine - Culture Saint-Denis-du-Payré 85580 Le 17/09/2022 À l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine, les 4 réserves naturelles du Sud Vendée, co-gérées par la LPO, vous accueillent pour vous faire découvrir les sites et les actions de suivis et de gestion
LeBTSM PGEM (Pêche et gestion de l’environnement marin) est un parcours port-Bac en 2 ans qui forme des techniciens pour les domaines de la pêche et de la gestion de l’environnement marin. Contenu
BTSMaritime Pêche et gestion de l’environnement marin & BTS Aquacole (depuis 2014) Un module de 4h sur les espèces de cétacés et tortue, les méthodes d’étude, les menaces et solutions. Un module pratique d’une journée en mer pour la mise en pratique des méthodes
nonton film siyah beyaz ask sub indo. Télécharger le catalogue des formations de ce secteur pro en PDF Découvrez les métiers de ce secteur professionnel ainsi que les formations proposées en MFR, à travers deux dossiers réalisés pour le Lien, magazine institutionnel du mouvement des Maisons familiales rurales, édité chaque trimestre à 60 000 exemplaires. Développement durable des métiers verts Dossier Formation - Lien n°352 Gestion et protection de la nature un secteur en développement mais des emplois en nombre limité Dossier Formation - Lien n°328 Présentation du Bac pro Gestion des milieux naturels et de la faune par la MFR de Marconne Développement durable des métiers verts La France fait la promotion d’une économie verte » qui respecte les grands équilibres et développe des modes de consommation et de production plus sobres en ressources naturelles et en carbone pour affronter les défis environnementaux ». Ces enjeux doivent permettre aux entreprises de créer de nouveaux emplois. Que ce soit dans le traitement des déchets, la lutte contre les pollutions de toute sorte, le développement des énergies renouvelables, la protection de l’environnement, l’économie verte devrait développer de nombreux emplois mais il est à prévoir que tous les métiers seront concernés par le verdissement de l’économie », au premier chef le secteur du bâtiment qui a déjà inauguré de nouvelles normes d’isolation et l’utilisation de nouveaux matériaux de construction... Transformer les déchets La France s’est engagée dans une transition vers l’économie circulaire » et non plus linéaire » produire, consommer, jeter. L’objectif est de produire des biens et des services en limitant la consommation et le gaspillage des matières premières, de l’eau et des sources d’énergie. Comment ? En s’interrogeant dès les process de fabrication sur l’utilisation ultime des matériaux quand le produit sera jeté et en transformant les déchets en matière première. Dans ce contexte, le tri des déchets est capital. Le nouveau CAP intitulé Propreté de l’environnement urbain - Collecte et recyclage » a fusionné 2 formations existantes Gestion des déchets et propreté urbaine et Opérateur industries de recyclage pour n’en faire plus qu’une. Le titulaire de ce CAP est un professionnel qualifié, salarié d’une entreprise ou d’un organisme du secteur public qui exerce dans le secteur du nettoyage, de la collecte, du traitement et de la valorisation des déchets. Il contribue à améliorer le cadre de vie et à préserver les ressources naturelles. Des métiers d'avenir De nouveaux emplois en plein développement sont liés à la récupération et au recyclage des déchets. L’agent de propreté peut travailler comme conducteur de véhicules, d’engins ou de machines utiles au traitement des déchets, agent d’accueil et de contrôle dans les déchetteries, agent de démantèlement, trieur, réparateur… Les employeurs potentiels recensés par la MFR de Chevanceaux en Charente- Maritime sont variés entreprises de récupération ou de valorisation des matières comme le bois, les métaux, les papiers les plastiques, les emballages, les textiles, centres d’enfouissements, centres de recyclage, centres d’incinération, entreprises de démolition du secteur de l’automobile, entreprises de collecte, service technique communal et collectivité… Le Bac professionnel Gestion des pollutions et environnement » forme des professionnels qui travaillent dans les secteurs de l’assainissement et du nettoyage industriel, de la collecte, du tri et du conditionnement des déchets notamment industriels et de la dépollution des sites naturels pollués. Il organise des chantiers et en assure le suivi, il assure également des actions de prévention notamment au sein des installations industrielles. Protéger l'eau et la nature Au ministère de l’Agriculture, de nombreux diplômes forment directement à des métiers en lien avec la protection de l’environnement. Ainsi le titulaire du CAPa Entretien en espace rural » effectue des travaux d’entretien de sites naturels débroussaillage, travaux de bûcheronnage, plantation…. Il travaille pour une collectivité territoriale, une association de protection de la nature… Le bac professionnel Gestion des milieux naturels et de la Faune » forme des personnes qui contribuent à la protection du territoire grâce à la surveillance des milieux naturels et à la préservation de la biodiversité. Il assure des travaux d’entretien, d’aménagement, des inventaires et des actions d’animation autour de la promotion des milieux naturels et de ses espèces. Sa suite logique est le BTSA Gestion et protection de la nature », qui forme des techniciens spécialistes de la gestion et de l’animation des espaces naturels. Il sensibilise le public à la nature et à l’environnement et encourage la protection des espaces naturels. Le BTSA Technicien forestier » accessible après un parcours CAPa et bac professionnel Forêt peut permettre également à des jeunes d’accéder à des fonctions de gestionnaire d’un massif forestier. Il évalue les peuplements, fait l’inventaire et prévoit les coupes et le reboisement pour une bonne gestion des espaces naturels. Dans le domaine de l’eau, le BTSA Gestion et Maîtrise de l’eau » est accessible après le bac pro Gestion des pollutions et environnement », après un bac technologique ou après un bac général. Il forme des spécialistes de la qualité de l’eau, des aménagements, des réseaux d’eau et de l’assainissement qui travaillent dans des stations d’épuration, dans des bureaux d’étude, des collectivités… Pour ceux qui souhaitent poursuivre leurs études, il existe de nombreuses Licences professionnelles. Le développement des énergies durables Les MFR qui développent des formations dans le bâtiment conception bois, plombier, électricien… sont toutes concernées par la prise en compte de normes nouvelles qui permettent plus de performance énergétique. Certaines MFR proposent des formations spécifiques tournées vers le développement durable. La formation développée au CFP de Port- Brillet en Mayenne est tournée toute entière vers la maîtrise de l’énergie et le développement des énergies durables dans le cadre du développement durable. Le chargé de projet en maîtrise de l’énergie, énergies renouvelables et éco-construction » est un titre partagé avec un partenaire de Savoie. Il s’adresse à un public adulte qui a déjà une expertise technique dans le génie climatique par exemple, ou qui a une formation généraliste de type Master. L’objectif est de former à une vision globale et transversale du secteur de l’énergie et du développement durable dans le bâtiment. Il s’agit de concevoir des projets écoresponsables c’est-à-dire qui soient plus performants du point de vue énergétique, si possible en utilisant des énergies renouvelables biomasse, solaire thermique, photovoltaïque… et en introduisant des matériaux écoconstruction qui réduisent l’impact du bâtiment sur l’environnement. Les personnes ensuite travaillent soit comme conseiller info énergie auprès du public, soit en bureau d’étude, soit comme chargé de mission auprès des collectivités territoriales. Engagé dans le développement des énergies renouvelables, le CFP propose également logiquement le CQP Installateur mainteneur des systèmes solaire ». Il s’adresse à des personnes déjà titulaires d’un CAP installateur thermique ou froid et climatisation ou en électricité. Il permet d’acquérir des compétences spécifiques sur les systèmes utilisant les énergies renouvelables solaire thermique, photovoltaïque, chaudières à bois, petit éolien pour pouvoir réaliser un diagnostic et savoir installer selon les règles de l’art, mettre en service et assurer la maintenance des différents équipements. De même, la MFR de Saint-André le Gaz Le Village, en Isère, spécialisée dans les métiers de l’électricité propose une mention complémentaire après le bac professionnel dans les énergies renouvelables photovoltaïque, éolien… et des modules professionnels spécifiques dans ce domaine. Chiffres clés Métiers verts 446 000 emplois en 2011 1,8 % de l’emploi total en France 122 100 emplois liés à la gestion des déchets - 445 millions de tonnes de déchets produits en France en 2012 - 17,9 millions de tonnes de matériaux recyclés 23 % d’énergies renouvelables en 2020 c’est l’objectif du plan national d’action. SOURCE ADEME et ministère du développement durable Lien des familles n°352 - Dossier formation - Télécharger le PDF Retrouvez les formations MFR sur notre moteur de recherche national METIERS VERTS /// Les MFR proposent les formations suivantes Cycles 4e/3e découverte des métiers par alternance Bac Pro Gestion des Milieux Naturels et de la Faune GMNF Bac pro Gestion des Pollutions et Protection de l'Environnement GPPE Bachelor Management Environnemental BTSA Gestion et Maîtrise de l'Eau GEMEAU BTSA Gestion et Protection de la Nature GPN BTSA Gestion et protection de la nature/Gestion des espaces naturels CAP Propreté de l'environnement urbain - Collecte et recyclage Diplôme européen d'études supérieures Techniques de l'environnement Capacité professionnelle "Pêche maritime à pied à titre professionnel" CQP Tri Manuel et Mécanisé des Industries de Recyclage Formations spécialisations pêche Modules de perfectionnement des salariés du secteur environnement Préqualification aux Métiers de la Nature Technique Aménagement de l'Espace Rural Télécharger le catalogue des formations de ce secteur pro en PDF Gestion et protection de la nature un secteur en développement mais des emplois en nombre limité Depuis quelques temps, les espaces naturels assurent un nouveau rôle ils sont devenus des espaces de loisirs et de tourisme car ils sont riches en patrimoine écologique ou culturel. Ces nouveaux besoins ont développé de nouveaux métiers dans l’animation nature et la protection et gestion de l’environnement et bien sûr de nouvelles formations. Une passion pour l'environnement Les métiers de l’environnement ont le vent en poupe auprès des jeunes. Le BTSA Gestion et protection de la nature, créé il y a une quinzaine d’années, attire beaucoup. Il forme à deux métiers différents l’animateur nature et le gestionnaire des espaces naturels. Pour entrer dans cette formation, il faut une motivation solide et aimer la nature. Dans les MFR, les élèves viennent d’horizons très différents. L’intérêt est de mélanger les profils certains sortent de bacs généraux, d’autres de bacs technologiques et professionnels, d’autres enfin ont le BTA Gestion de la faune sauvage en cours de transformation en bac professionnel. Ces jeunes partagent tous une passion pour l’environnement », explique Adeline Batilliot, de la MFR de Mondy à Bourg de Péage dans la Drôme. Ce BTSA présente deux options assez différentes même si elles ont en commun une partie des enseignements l’une prépare à une fonction d’animation nature, l’autre à une fonction de gestion des espaces. Faire comprendre la nature L’animateur nature doit avoir de bonnes connaissances de la faune, de la flore et du paysage. Pour entrer dans cette formation, la possession du BAFA est un atout. Son rôle est de concevoir des projets et de les faire vivre. L’animateur doit être pédagogue et avoir une grande faculté d’adaptation car il travaille auprès de différents publics enfants, jeunes, familles, personnes âgées, dans des structures telles que les parcs naturels, les réserves, les communes ou les communautés de communes, ou des associations d’éducation à l’environnement par exemple les Centres Permanents d’Initiatives pour l’Environnement. La demande du grand public est forte dans ce secteur-là. Le rôle de l’animateur nature est de sensibiliser aux questions de gestion et de protection des espaces. Il effectue des sorties en pleine nature. À la saison touristique, il travaille de longues journées. À l’aide d’outils pédagogiques adaptés au public livret, sentier nature, parcours santé, panneaux, ateliers…, il sensibilise, fait découvrir la faune et la flore, interprète les milieux naturels grâce aux empreintes par exemple, aux traces. Il transmet un savoir être et une éducation à l’environnement qui permet de modifier durablement les comportements. Gérer les espaces naturels Le gestionnaire des espaces naturels travaille, en relation avec des scientifiques, à mettre en oeuvre un projet de gestion d’un espace naturel. Il contribue au diagnostic d’un espace et sait réaliser un inventaire des espèces sur un territoire, il sait prendre des mesures de gestion, en chiffrer le financement et assurer le suivi. Le gestionnaire des espaces naturels peut travailler dans une fédération de chasse ou de pêche, dans les parcs, les réserves, les syndicats mixtes… Dans nos formations BTSA, deux publics se côtoient. Les passionnés de chasse et les passionnés d’écologie », explique Didier Hermant de la MFR Saint Sernin dans l’Aveyron, qui dispense les deux spécialités. Il y a le mauvais chasseur et le mauvais écologiste… À travers la formation, les jeunes apprennent les éléments objectifs à donner au public pour rendre compte des logiques et protéger la diversité des espèces des milieux naturels, en maintenant des habitats, protégeant et aménageant des zones humides, restaurant des haies. Les fédérations sont très impliquées dans ces missions ». Après leur formation BTSA en deux ans, plusieurs possibilités sont offertes aux jeunes. Même si on constate que les offres d’emplois ont été multipliées par trois dans les métiers de l’environnement notamment dans la gestion des déchets, le secteur n’est pas suffisamment développé pour absorber tous les nouveaux formés. Les formations sont un peu victimes de leur succès. D’après le CEREQ La formation emblématique BTSA Gestion et protection de la nature n’a cessé de se développer depuis dix ans, alors que les débouchés évolueraient peu. » Dans les MFR qui dispensent des formations par alternance sous statut scolaire et par apprentissage, les jeunes bénéficient d’un fort ancrage dans le milieu professionnel, ce qui leur permet de tisser leur réseau et de trouver plus facilement un emploi à la sortie du BTS. Certains jeunes choisissent cette formation pour ensuite monter une structure avec accueil du public par exemple une ferme pédagogique, un gîte. Dans ce secteur, la majorité des jeunes aujourd’hui choisit de poursuivre ses études notamment vers une licence professionnelle. Les jeunes intéressés peuvent également compléter leur formation en ajoutant une autre corde à leur arc grâce à un BPJEPS ou un brevet d’état d’éducateur sportif par exemple qui permet d’obtenir des compétences professionnelles dans une spécialité sportive accompagnateur en moyenne montagne, pêche par exemple. L'emploi dans l'environnement L’Institut français de l’environnement répertorie, en 2006, 375 900 emplois dans l’environnement, en 3 catégories Protection de l’environnement Pollution de l’air, eaux usées, déchets, bruit, nature, paysage, biodiversité 60 % des emplois, Autres domaines de l’environnement eau, récupération, cadre de vie 30 % des emplois, Activités transversales 10 % des emplois. Les secteurs des déchets et des eaux usées représentent la moitié des emplois environnementaux. Source Ifen, rapport de la Commission des comptes et de l’économie de l’environnement, 2008. Témoignage /// FLORIAN MOLINIÉ FÉDÉRATION DE PÊCHE DE L’AVEYRON ❝L’ÉDUCATION DU PUBLIC EST PRIMORDIALE” La Fédération de pêche de l’Aveyron a une vocation départementale. Elle fédère les 44 associations du département. Elle a trois grandes missions. La première est de protéger et de gérer les milieux aquatiques. Cela signifie qu’il faut conduire un état de santé des rivières pour ensuite pouvoir classer les cours d’eau. Ces documents officiels sont validés par le préfet. La deuxième mission est de valoriser et de gérer la pêche. En fonction de l’état des lieux et du classement, il faut réglementer la pêche, lâcher ou non du poisson, et communiquer auprès des pêcheurs. Notre troisième mission est le développement du loisir pêche par le biais d’une école de pêche dont je suis le responsable. Notre fédération a misé depuis une dizaine d’années sur l’éducation à l’environnement. Nous faisons le pari que si le public sait comment fonctionne une rivière, il la respectera mieux. Nous enseignons que les cailloux dans les cours d’eau ont une utilité pour l’oxygénisation de l’eau et que c’est une erreur de les déplacer par exemple. Nous suggérons de faire du covoiturage pour aller à la pêche. Nous expliquons pourquoi il faut respecter les tailles des poissons, les quantités, les normes… Nous agissons auprès des jeunes mais aussi des adultes. Il s’agit de promouvoir une autre manière de vivre ! Témoignage /// LUDOVIC BADOIL TECHNICIEN AU SYNDICAT MIXTE DES MONTS D'OR ❝ J’AI EU UN EMPLOI GRÂCE À MES STAGES ” Ludovic Badoil, lyonnais, a 27 ans. Il est technicien territorial supérieur dans le syndicat mixte des Monts d’Or depuis 2005. Titulaire d’un bac technologique STAE, Ludovic Badoil choisit de s’orienter vers la protection de la nature après avoir abandonné un BTSA en Production animale. Il passe son BTSA Gestion et Protection de la Nature, spécialité Animation nature à la MFR de Mondy à Bourg de Péage. Après le BTSA, il choisit de poursuivre ses études en licence professionnelle à Lille en Diagnostic et suivi agri-environnemental ». En sortant, après avoir travaillé quelques mois comme animateur dans l’association Les petits débrouillards » à la conception de la mallette pédagogique 1 degré de + », il est appelé par son ancienne maître de stage. La technicienne quittait son poste au syndicat mixte des Monts d’Or. Elle me proposait d’appuyer ma candidature si j’étais intéressé. Elle me connaissait. J’avais réalisé mon stage professionnel de 20 semaines pour mon BTSA, au cours duquel ma problématique était de créer une ferme pédagogique. Je peux dire que si j’ai décroché cet emploi aujourd’hui, c’est grâce à un stage réussi dans le cadre de ma formation BTS ! » Le Syndicat mixte réunit 11 communes, le Conseil Général du Rhône et le Grand Lyon. Sa mission est de préserver les espaces naturels sensibles et de maintenir l’agriculture, dans cet espace périurbain fragilisé et de valoriser ce site des Monts d’Or. C’est un territoire qui accueille un flux touristique important, du fait de la proximité de Lyon. Nous faisons en sorte que les chemins balisés soient débroussaillés, le patrimoine protégé. Comme nous sommes une petite structure trois salariés plus un directeur, nous travaillons en partenariat avec tous les acteurs du territoire les associations, les élus, l’ONF, les agriculteurs, les chasseurs… » Ma mission est entre autres de coordonner les animations. Je suis responsable de l’éducation à l’environnement et veille à ce que les écoles s’intéressent aux animations nature et les intègrent dans leur programme. J’assure la communication. Dans notre structure, nous accueillons des stagiaires. Nous leur demandons de l’autonomie et de la créativité pour mettre en place des activités. Nous avons toujours un objectif la réflexion sur un outil pédagogique et sa réalisation par exemple. Notre dernier stagiaire a réfléchi à la mise en place d’une mallette pédagogique sur les rapaces dans les Monts d’Or. Nous travaillons avec les Maisons familiales rurales certaines forment des agriculteurs qui souhaitent parfois s’installer dans ce territoire, d’autres dispensent des formations aménagement qui nous intéressent… Je suis toujours en lien avec la MFR de Mondy pour le recrutement des futurs élèves ou pour offrir un terrain de stage quand c’est possible ». Lien des Familles n°328 - Dossier formation - Télécharger le PDF Retrouvez les formations MFR sur notre moteur de recherche national GESTION ET PROTECTION DE LA NATURE /// Les MFR proposent les formations suivantes Cycles 4e/3e découverte des métiers par alternance Bac Pro Gestion des Milieux Naturels et de la Faune GMNF Bac pro Gestion des Pollutions et Protection de l'Environnement GPPE Bachelor Management Environnemental BTSA Gestion et Maîtrise de l'Eau GEMEAU BTSA Gestion et Protection de la Nature GPN BTSA Gestion et protection de la nature/Gestion des espaces naturels CAP Propreté de l'environnement urbain - Collecte et recyclage Diplôme européen d'études supérieures Techniques de l'environnement Capacité professionnelle "Pêche maritime à pied à titre professionnel" CQP Tri Manuel et Mécanisé des Industries de Recyclage Formations spécialisations pêche Modules de perfectionnement des salariés du secteur environnement Préqualification aux Métiers de la Nature Technique Aménagement de l'Espace Rural Télécharger le catalogue des formations de ce secteur pro en PDF
Caractéristiques Durée 2 ans Niveau terminal d'études Bac + 2 Modalités temps plein À savoir Cette formation permet d'exercer les métiers de marin pêcheur, officier et commandant de navire de pêche, patron artisan à la pêche ; de cadre dans les coopératives maritimes, dans les armements à la pêche ; de technicien dans des bureaux d'études spécialisées dans l'environnement ou la pêche ; de chargé de mission dans une organisation de producteurs ; d'observateur et contrôleur des pêches, de technicien en gestion des stocks. Le technicien supérieur assure la conduite et la gestion d'un navire de pêche. Il met au point les engins de pêche ou les techniques innovantes. Il participe au traitement et à la valorisation des poissons. Spécialiste de la réglementation des pêches, il prépare, organise et planifie des missions d'observations du milieu marin, des campagnes de pêche et des espèces et restitue les données collectées. Il participe aux actions de prévention et de lutte contre les pollutions des mers. BTS maritime pêche et gestion de l'environnement marin - 5 étapes pour mon parcours vers l’enseignement supérieur - Terminales 2021/2022 Code UAI 7200118R Adresse Batterie les Turquines 20200 Bastia Académie de Corse Caractéristiques Établissement public Internat garçons
Observer, conseiller et former pour préserver les ressources marines et développer la filière pêche et aquaculture L’avenir de la pêche et de ses acteurs est un enjeu majeur. La question de la durabilité des ressources est essentielle, tout comme sa valorisation. Bureau Veritas vous accompagne par sa compétence, sur un panel d'activités collecte de données observations scientifiques, enquêtes, conseil, expertise, formation et assistance technique. grâce à son équipe pluridisciplinaire composée d’ingénieurs et de techniciens qualifiés et expérimentés, capables d’intervenir efficacement sur des projets au bureau ou de terrain. en s'appuyant un réseau de partenaires et de consultants externes privilégiés. en étant présent en France et à l'international. Une de ses principales forces est l’expérience acquise grâce aux travaux fournis à la Commission européenne sur différents aspects de la Politique Commune des Pêches PCP outils financiers FEP et FEAMP, volet interne et externe de la PCP, évaluation des accords de pêche. POURQUOI CHOISIR BUREAU VERITAS ? Forte expérience en audit technique et économique études prospectives et démarches d’éco-certification. missions d’observation et de contrôle des activités de pêche et de collecte de données scientifiques enquêtes pour les administrations, les instituts de recherche ou les organisations de producteurs dans le cadre de programme de sélectivité test de nouveaux engins de pêche. gestion de projet de développement, de déploiement de dispositif de collecte de données en mer et à terre, de contrôle et surveillance des activités de pêche, et de mise à disposition de personnels spécialisés pour des missions de courte et longue durée.
Les pêcheurs professionnels vivent des ressources aquatiques continentales sauvages, qu'ils commercialisent en circuits courts, en vente directe, auprès de restaurateurs locaux ou gastronomiques traditionnels. Une entreprise de pêche exploite, durant de nombreuses années, parfois sur plusieurs générations, les ressources produites sur un territoire déterminé. C'est par définition une activité durable. Elle est respectueuse des milieux aquatiques et impliquée dans leur surveillance et leur défense. Le métier de pêcheur professionnel s'exerce en grande partie à l'extérieur, en toutes saisons. Les qualités requises Ce métier demande des facultés d’observation, un sens pratique et technique, une bonne condition physique et des qualités relationnelles. Il demande aussi des compétences en gestion d’entreprise et dans le domaine réglementaire normes sanitaires. Des notions d’écologie, voire de gestion des milieux naturels, sont également nécessaires. Les conditions d’accès Le métier de pêcheur professionnel est strictement réglementé. Les droits de pêche et de commercialisation sont délivrés par un service gestionnaire sous certaines conditions, comme la présentation d’un projet d’entreprise pluriannuel, la réponse à certaines formalités administratives, et la preuve des qualités requises. Les pêcheurs professionnels en eau douce sont locataires de droits de pêche, renouvelés le 1er janvier 2017. Pour obtenir un droit de pêche, il faut d’abord contacter l’un des services gestionnaires compétents, direction départementale des territoires DDT, direction départementale des territoires et de la mer DDTM, voies navigables de France VNF, collectivités territoriales… Renseignements et contacts Association de pêcheurs professionnels du secteur géographique concerné Conapped contact Direction départementale des territoires DDT ou direction départementale des territoires et de la mer DDTM du département concerné, demander le service Police de la pêche » ou Eau et environnement » Après obtention des lots Dès que le pêcheur a obtenu son ou ses lots, ou sa licence, il doit alors s’inscrire au Centre de formalités des entreprises CFE des chambres d’agriculture, puis à la Mutualité sociale agricole MSA. Vient alors le moment de l’inscription à l’association agréée des pêcheurs professionnels AAPPED du lieu d’activité. Le coût de l’adhésion comprend les cotisations à l’AAPPED et au Conapped ainsi que le montant de la redevance versée à l’agence de l’eau. Selon l’article R434-39 du Code de l’environnement, tout pêcheur professionnel en eau douce doit adhérer à l’association agréée départementale ou interdépartementale de pêcheurs professionnels en eau douce dans le ressort de laquelle il exerce son activité et détenir un droit de pêche ». En outre, selon l’article R434-40 du Code de l’environnement, l’adhésion à l’association agréée de pêcheurs professionnels en eau douce est subordonnée à l’engagement par le demandeur uniquement le pêcheur professionnel d’origine fluviale de participer à la gestion piscicole et de tenir un carnet de pêche de consacrer au moins 600 heures par an à la pêche professionnelle en eau douce Les compagnons doivent également adhérer à l’association sous les mêmes conditions. Le statut de pêcheur professionnel est acquis lorsque ces formalités sont accomplies. L’activité ne peut pas démarrer avant la date du début du bail ou de la licence. Se former Le métier est accessible à tous les âges. Il est fortement recommandé de suivre une formation, initiale ou continue, dans un établissement agricole spécialisé, tel que le centre de Valdoie. Ce centre délivre notamment un diplôme de type Brevet Professionnel Responsable d’Exploitation Agricole BPREA en formation continue, ou en contrat d’apprentissage. Cette formation est associée à un stage de longue durée en entreprise de pêche professionnelle. Devenir pêcheur avec la formation initiale Le Bac Pro productions aquacoles Le baccalauréat professionnel Productions Aquacoles » s’inscrit dans un cursus de trois ans Seconde professionnelle 1 an comprenant un stage de 4 à 6 semaines Bac professionnel 2 ans comprenant un stage de 14 à 16 semaines Il ne s’agit pas d’une formation spécifique sur la pêche professionnelle. Elle a une vocation plus généraliste. Il est conseillé d’effectuer les périodes de stages dans une entreprise de pêche professionnelle en eau douce. Descriptif de la fiche Onisep Le titulaire de ce bac pro gère, en tant qu’exploitant ou salarié aquacole, la production de poissons de mer ou d’eau douce, de crustacés ou de mollusques. Il organise leur reproduction selon un plan de sélection. Il apprécie leur comportement, leur état sanitaire ainsi que l’écosystème aquatique dans lequel ils évoluent. Il choisit des équipements adaptés notamment en matière d’approvisionnement et de traitement de l’eau. Il distribue l’alimentation des animaux en fonction de leurs spécificités. Il maîtrise les techniques de prélèvement des sujets commercialisables, les conditionne et les stocke. Il peut également travailler en vente directe dans des locaux aménagés. » Le BTS aquaculture Accessible avec un bac, un bac professionnel dont le BP Productions Aquacoles ou un bac Sciences et Technologies de l’Agronomie et du Vivant, le diplôme s’obtient à l’issue de deux ans de formation, qui n’est pas, non plus, spécifique pêche professionnelle ». Descriptif de la fiche Onisep Ce BTSA forme les étudiants à la gestion d’une entreprise aquacole. La formation est axée en premier lieu sur l’étude des milieux aquatiques naturels et artificiels et sur la connaissance des espèces d’élevage. L’étudiant est capable de mener toutes les étapes d’une production aquacole sélection des géniteurs, reproduction, alimentation, suivi de l’état sanitaire, utilisation des équipements…. Qu’il s’agisse d’une production en eau douce ou en milieu marin, en milieu naturel ou en bassins, l’étudiant est sensibilisé aux impacts de son activité sur l’environnement et au suivi de la qualité de l’eau. L’aspect économique est l’autre volet important de cette formation. L’étudiant est formé à la gestion d’entreprise, à l’utilisation d’outils de gestion et de comptabilité. Il apprend à réaliser des diagnostics qui prennent en compte à la fois l’aspect technique, financier, réglementaire et environnemental de l’activité d’élevage. Il est capable de faire des choix ou de formuler des conseils pour adapter la production au marché et aux contraintes de l’exploitation. » Les établissements d’enseignement Bac pro productions aquacoles et BTS aquaculture * Établissements proposant aussi la formation en apprentissage ** Établissements proposant aussi la formation en contrat de professionnalisation Devenir pêcheur avec la formation continue Le brevet professionnel responsable d’exploitation aquacole maritime et continentale Devenir pêcheur professionnel via la formation continue, c’est possible. Les lycées agricoles et aquacoles proposent des formations pour préparer le brevet professionnel responsable d’exploitation aquaculture continentale et maritime BP REA. Elles s’adressent soit à un public adulte, salarié ou non, soit à des apprentis ayant un projet professionnel défini et souhaitant acquérir une qualification, se perfectionner, se reconvertir ou reprendre l’activité familiale dans le secteur aquacole. Conditions d’accès Être âgé de 18 ans Justifier de l’équivalent d’une année d’activité professionnelle à temps plein Être titulaire d’un CAP, d’un diplôme de même niveau ou avoir suivi le cycle conduisant au Brevet d’Études Professionnelles BEP, Brevet d’Études Professionnelles Agricole BEPA ou avoir suivi une scolarité complète de classe de seconde Avoir signé un contrat avec une entreprise pour la formation par apprentissage Descriptif de la fiche Onisep Le responsable d’exploitation aquacole peut être spécialisé dans la production de poissons de mer, de saumons, de poissons d’eau douce en étang ou bassin, de coquillages ou de crustacés. Il maîtrise la conduite de la reproduction. Il assure un environnement de qualité aux animaux hygiène, qualité de l’eau, équilibre de l’écosystème. Il observe leur comportement et assure leur suivi sanitaire. Il prépare les aliments et adapte leur nature et leur quantité en fonction de la croissance des animaux. Il gère le matériel, les bâtiments et les installations suivant les normes en vigueur. Il vend sa production. Il peut disposer d’un atelier de transformation et d’un lieu de vente directe. » Financement et rémunération Les possibilités de rémunération sont en fonction du statut de chacun à l’entrée en formation. Le financement peut être assuré par l’intermédiaire du congé individuel de formation CIF. Les Conseils régionaux sont également des financeurs potentiels. Durée de la formation 10 mois 2 ans pour les apprentis Contenu de la formation La formation BP REA se compose de sept blocs de compétences. 1. Connaître et comprendre le contexte de l’activité agricole 2. Piloter le système de production 3. Conduire un atelier de production aquacole 4. Assurer la gestion technico-économique, financière et administrative de l’entreprise. 5. Mettre en marché ses produits 6. Transformer sa production en produits prêt à consommer 7. S’adapter à des enjeux professionnels particuliers. L’obtention du BP REA nécessite la validation des sept blocs de compétences. Tout bloc de compétences non validé peut être présenté lors des sessions suivantes dans un délai de 5 ans. La formation théorique est complétée par un stage de blocs semaines en situation professionnelle. Renseignements et contacts Centres de formation professionnelle et de promotion agricoles CFPPA Centre de formation par l’apprentissage agricole CFAA de Valdoie Territoire de Belfort – http//aq – Responsable de formation Benoît Quentin – Tél 06 25 77 15 35 – mail Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web et à des fins de mesure d'audience. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes refusePolitique de confidentialité
Un nouveau BTS Pêche et Gestion de l'Environnement marin ouvrira en septembre 2022 au lycée professionnel maritime de formation permet d'exercer les métiers de marin pêcheur, officier et commandant de navire de pêche, patron artisan à la pêche ;de cadre dans les coopératives maritimes, dans les armements à la pêche ;de technicien dans des bureaux d'études spécialisées dans l'environnement ou la pêche. Après l’ouverture de ce BTS à Boulogne, Sète, Le Guilvinec et La Rochelle, cette formation viendra compléter celles déjà dispensées par le lycée professionnel maritime LPM de Bastia, le Certificat d’Aptitudes Professionnelles maritime, le baccalauréat professionnel "conduite et gestion des entreprises maritimes pêche" CGEM pêche, le baccalauréat professionnel "conduite et gestion des entreprises maritimes commerce/plaisance professionnelle" CGEM - commerce et plaisance avec une option yacht et enfin le baccalauréat professionnel "électromécanicien de marine" EMM.Cette ouverture est l’aboutissement d’un effort partagé avec la collectivité territoriale de Corse qui a investi plus de 14 millions d'euros afin de rénover les plateaux techniques, les classes et l'internat du lycée et d'offrir aux élèves un équipement moderne et les 2 nouvelles classes de BTS "mécatronique navale" qui ouvriront en septembre 2022 aux LPM de Nantes et Paimpol, ce sont 3 classes de BTS supplémentaires créées à la rentrée scolaire 2022 par le ministère de la mer au sein du réseau des LPM qui contribueront à renforcer la capacité de promotion sociale de l'enseignement maritime et l'attractivité des métiers de la mer, faisant passer le nombre total de BTS ouverts dans les LPM de 6 à Girardin, ministre de la mer, déclare J’ai fait de la formation maritime, tous niveaux confondus, une priorité. Cette troisième ouverture de BTS permettra d’encourager le développement d’une filière de l’économie bleue pourvoyeuse d’emplois qualifiés qui répond au besoin exprimé par les employeurs maritimes à l'échelle de la Corse et de la Méditerranée continentale. Elle permettra également aux insulaires de poursuivre sur place leurs études supérieures auxquelles certaines familles auraient pu renoncer pour des raisons financières ou sociales. A plus long terme, elle pourrait permettre à certains élèves d'accéder aux formations de l'Ecole nationale supérieur maritime afin de répondre à l'enjeu de doublement du nombre des officiers prévu dans le "Fontenoy du maritime".Communiqué du ministère de la Mer
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