c est pas sorcier les marais salants

Lanimateur Jamy de l’émission « C’est pas Sorcier » explique tout sur un écran installé sur le site. Après cette visite enrichissante, continuez la vadrouille sur les marais salants. C’est une occasion de découvrir les différentes étapes que le nonton film siyah beyaz ask sub indo. Bonjour!Ce n'était pas prévu du tout car je déteste ce type d'attraction "attrape touriste" mais de passage à Aigues-Mortes, je rêvais de voir ces paysages magiques des marais salants... Là, j'ai découvert à l'office du tourisme que les marais sont non seulement une propriété privée site agro-alimentaire mais en plus une zone protégée et que je ne pourrai donc pas y faire librement une randonnée photo comme je les affectionne coup, il restait deux options la visite accompagnée en VTT ou la balade en petit train...On a choisi l'option "petit train" pour trois raisons - le prix 10€/personne, 9€/personne avec le "pass avantages" donné à l'Office du tourisme contre 25€ en VTT - le fait d'avoir les mains libres pour faire de la photo- la durée de la balade moins longue en petit train Comme malgré tout on aime marcher car ça permet de vivre moins vite !, on a décidé d'aller sur le site des salins en empruntant le petit chemin au départ de la cité porte des Moulins voir le plan d'Aigues-Mortes ci-dessous, c'est la porte qui est la plus proche de l'office du tourisme. Plan d'Aigues-Mortes à télécharger Ce sentier aménagé offre de très jolis panoramas sur le salin et la cité et permet de rallier rapidement un quart d'heure à une demi-heure suivant les pauses photo... le site clôturé des salins. si vous préférez y aller en voiture, il y a un parking gratuit Arrivés sur site, après avoir patienté un petit moment présence de la boutique des salins..., nous sommes montés dans le fameux petit train un départ toutes les demie-heures et avons commencé une visite commentée que j'ai trouvée très moyennement intéressante mais qui avait le mérite de ne pas fatiguer. Tout le long de cette visite, on a vu les machines et eu quelques brèves explications sur les techniques employées Pour plus de renseignements techniques ce qui m'a un peu manqué, j'avoue à ce sujet, je vous ai mis en fin d'article des liens nettement plus intéressants que ce que j'ai entendu dans le train. Côté paysages, par contre, je n'ai VRAIMENT pas regretté ce moment même si à mon goût le petit train ne s'est que trop peu arrêté. Un seul arrêt très bref face à la cité où ceux qui n'avaient pas d'appareil photo reflex rapide ont pu faire quelques clichés sans descendre... site protégé Plus d'images dans cet article là Un très chouette arrêt pour escalader facilement car le sel est étonnement dur un "camel" montagne de sel Ce qui a donné d'amusants selfies... et permis de contempler de sublimes et exceptionnels paysages Dont des vues extraordinaires de la cité d'Aigues-Mortes Et les alentours Sur le parcours nous avons eu droit également à une pause obligatoire au musée du sel bâtiment centré sur la photo précédente, qui permet de mieux comprendre ce qu'est le travail des salins et surtout de passer par une nouvelle boutique. ...On n'a une nouvelle fois pas l'autorisation de s'éloigner du musée pour faire des photos, ce que j'ai regretté. Au final, une visite rapide 1h qui permet d'en prendre plein les yeux grâce surtout à cette montée sur le camel qu'on ne peut pas faire autrement! Il est aussi à signaler que lors de notre visite mi juillet nous n'avons vu aucun flamant rose Alors qu'on en avait vu plein aux Saintes Maries de la Mer deux jours avant... et très très peu d'autres oiseaux. Pour moi, cette visite, pour les paysages vus est malgré tout un incontournable de la destination Aigues-Mortes que je recommande à ceux qui veulent voir la cité et les salins d'en haut sans louer une montgolfière. Un seul regret... j'aurais adoré faire également cette visite au moment du coucher du soleil. C'est possible voir le lien que j'ai mis vers leur site tout en bas, je reviendrai... Car il FAUT y aller puisque c'est bien évidemment beaucoup mieux en réalité qu'en photo ou en film... Très belle journée à vous qui passez! © Hélène SF Quelques liens pour préparer votre balade J65 Monterrico à El Garrobo 42km 8h20 voilà, c’est fini…. » nos 3 jours de rêve dans notre auberge de jeunesse, donnant sur la plage de sable noir, entre piscine et château de sable!!!C’est que nous sommes venus pour faire du vélo pas uniquement bronzer… 😆A nous le bitume dans Monterrico, la seule route dans cette langue de terre, avec vue constante sur l’océan. Les vagues nous appellent telles des sirènes… et nous y succombons ! Nous avons le temps aujourd’hui alors si on essayait de rouler…. sur la plage! Quelle bonne idée ! Avec l’océan et les pélicans comme paysage! On va se régaler😊 La bonne idée ne va pas durer…. et non! 🤭 100 m et nous sommes crevés d’avoir poussé les vélos qui s’enfoncent inévitablement, que l’on soit dans le sable mouillé ou même les roues dans l’écume…. On a mal aux bras, très chaud, en sueur…. On décide de rebrousser chemin. La galère… bis! 🤣 On ne vous montre pas la sueur et la galère de pousser nos bici bien sûr!!! De retour sur notre bitume, nous traversons l’aldea lieu-dit Hawaii où les sourires sont encore bien présents. C’est ici que nous aurions dû prendre une lancha pour traverser la mangrove au nord et rejoindre l’autoroute. Mais ce matin, Luis, présent à notre auberge, nous a confirmé que nous trouverions une lancha 6km plus loin, en longeant l’océan et nous permettant d’éviter un maximum la Panaméricaine. Alors, on poursuit l’aventure sur ce chemin qui abandonne le bitume pour une bonne dose de sable et de cailloux! 🥴Peu d’hôtel, beaucoup de maisons traditionnelles en palapa, de petits champs clôturés de végétation, l’océan toujours en visu. L’herbe est grillée par contre. Feuilles de palmiers en train se sécher pour les toits des palapas La chaleur nous incite à venir manger près de la tienda Carolina. Sandra nous propose du mojarra pêché le matin poisson qu’elle préparera devant nous avec papas frites maison et verduras, pour tous les 4. La préparation dure un peu trop longtemps…pour Raphaël!! Mais ça en valait la peine!!! Son mari, Carlos, après nous avoir demandé notre route avec nos bici, nous propose de nous faire traverser le Rio et la mangrove jusqu’à El Chapeton! Pile où on voulait aller!😁 Mais la traversée ne se fait qu’à marée haute…dans est large… du coup direction la plage à 50m. Château de sable et baignade pour tout le monde! Retour en se brûlant les pieds littéralement, un truc de fou!!! pour les adultes uniquement…. Il faut dire qu’il fait 36 degrés à l’ombre!😱 Ma mère me dirait de ne pas me mettre à l’ombre alors!!!!. Sylvain et Emma s’en donnent à coeur joie ! L’embarcadère est à 200m, 17 km de notre départ. Toutes nos sacoches mises dans la lancha, nos 2 bici aussi, Sylvain et Emma coincés à côté de l’une à l’arrière, Raphaël et moi coincés aussi sur l’avant…. Nous voilà prêts pour 25 min dans la mangrove sous un tunnel de végétation entre les pélicans, les aigrettes et une multitude d’oiseaux! Magnifique! On recommande!!! Le village de El Chapeton sera vite traversé. Une chance c’est aussi du bitume dans ce coin reculé! Prés avec bétails, marais salants, maisons traditionnelles et colorées, montagnes à l’horizon et champs de canne à sucre avec cette petite odeur de sucré dans l’air 😋 Puis Las Lisas où nous achetons du melon à une marchande ambulante, qui nous offrira une pastèque. C’est bien la première fois au Guatemala !Déjà nos 25 km sont avalés jusqu’à la Panaméricaine où nous espérons bien trouver la station service de notre bivouac de ce soir! Pas très glamour mais pratique et gratuit! 😏 Le bivouac du soir…. Emma et Raphaël trouvent tout ce qu’il faut pour jouer ici El Garrobo…. Les employés acceptent que l’on plante » la tente derrière la station, même si elle ferme à 19h. Habituellement celles choisies, ouvrent 24/24, histoire d’avoir toujours quelqu’un avec nous. Ce soir, ce seront les patrouilles de police qui feront des rondes et veilleront sur nous nous avons pu les prévenir lors d’une de leur venue.Tout devient calme après la fermeture….même l’autoroute devient silencieuse alors que nous sommes vendredi soir! Repas entre nous de carottes, pâtes et pastèques! Les enfants dessinent un peu pendant mon écriture… 20h les feux s’éteignent mais pas la chaleur… 🥵 On ruisselle encore! J66 El Garrobo à Ciudad Pedro de Alvarado frontière 17 km Le trafic revenu, nous sommes naturellement réveillés à 6h30. Tout est plié rapidement » nous ne mettons plus qu’1h30 maintenant. 🤙 Ce matin encore, nous avons le temps….le temps de prendre des photos….Finalement il y aura peu d’occasion. Une première dans la côte où les montagnes se détachent avec la végétation, l’océan et la laguna Nisguaya. Dommage qu’en s’approchant du fossé, on découvre une vraie décharge publique! 😠 Peu de trafic ce matin pendant 12 km qui se déroulent très facilement. Nous aurons droit encore à ce fameux gringos, gringos », pas de doigt d’honneur cette fois-ci. 5 km avant la ville frontière, des camions sont à l’arrêt sur la route même. Nous empruntons l’espace entre eux et le fossé la seule voie de gauche est utilisée pour les véhicules venant du Salvador en sens inverse, ainsi que pour les voitures ou bus allant dans notre sens!. Les chauffeurs attendent le contrôle de leur véhicule par la douane, contrôle de toute leur marchandise… Et certains sont là depuis plus de 24h. Du coup, ils se sont installés un hamac sous le camion à l’arrêt et dorment là le plus au frais… Et oui aujourd’hui encore, nous sommes à 36 degrés!! 🥵🥵 Sous leur remorque se trouve leur hamac! La traversée de la Ciudad Pedro de Alvarado nous donne chaud aussi du monde, la douane au sifflet qui trie les camions, voitures, motos et nos 2 vélos, du monde, de la musique, du monde, le marché, les ateliers de réparation, du monde!! Même s’il est tôt, 10h, nous avançons vers un hôtel et négocions pour poser notre tente dans leur jardin! L’accord passé, nous la montons pendant que les enfants plongent dans la piscine…. L’eau est tiède mais nous rafraîchit tout de même… 😅 Seulement, il ne faut pas oublier notre 2nd passe-temps favori manger! Et aujourd’hui surtout boire de l’eau et des jus frais. Ce sera 2L de jus de Tamarindo pour les adultes et autant en eau pour les enfants. 🤪Le temps de l’école est venu, à chaque jour ou après-midi off ». Ce n’est qu’une fois par semaine en moyenne, pour certains domaines et où l’écriture est nécessaire. Pour tout le reste, tout est prétexte chaque jour pour apprendre les fourmis attaquent notre sacoche de sucré ? Un c’est pas sorcier » visionné sur les fourmis! Nous grimpons sur les flans de l’Acatenango? Un documentaire sur les volcans. Une excursion dans la mangrove du Guatemala? Un autre sur le même thème! Et toujours des discussions ensuite sur ce qu’ils retiennent, ce qui les questionne encore. La géographie? Emma et Raphaël apprennent sur les pays et les paysages que nous traversons… Le bricolage et l’imagination? Vous verriez ce qu’ils fabriquent avec les boîtes en carton des céréales de véritables vaisseaux spatiaux!🚀 La récréation sera la piscine encore cet après- midi où Raphaël continue ses leçons de natation avec Sylvain pendant qu’Emma s’exerce aux bombes! 🏊‍♀️Le temps calme avant le repas se fait dans le hamac à disposition. Pâtes à la tomate et parmesan pour ce soir avec melon. Quelques locaux passent la soirée au restaurant alors que nous sommes déjà au lit à 20h. Demain grosse journée de prévue avec le passage de la frontière ! Si vous êtes arrivés sur cette page c’est sûrement parce que vous révisez votre CAP Pâtissier. Et c’est peut être également parce que l’idée de lire un résumé d’une vidéo de 30 minutes vous a donné envie de gagner un peu de temps… Et vous avez raison ! C’est justement pour ça que j’ai créé cette page, un résumé en points de l’épisode de C’est pas sorcier le sel. 1. L’ORIGINE DU SEL Il y a 3,8 milliards d’années, les océans sont apparus. Au contact de l’eau, certaines roches présentent sur terre se sont dissoutes. Elles renfermaient des sels minéraux, c’est elles qui sel la mer. Il existe plusieurs roches donc plusieurs sortes de sel Le sel de table = le chlorure de sodium représente 77% du sel marinLe sel de magnésium représente 16% du sel marinLe sel de calcium = 4% du sel marinLe sel de potassium = 2% du sel marinDans 1L d’eau de mer il y a en moyenne 30g de sel varie en fonction des mers et des océans qui sont parfois plus salés que d’autresChaque année en France, on consomme 3 kilos de sel / personne, rien que pour l’assaisonnement de nos plats. 2. Le sel de mer Il y a du sel dans toutes les mers et tous les océans. Pour le récolter on pompe une grande quantité d’eau en bordure de mer / d’océan, qu’on amène vers des étangs naturels aménagés qu’on appelle marées salants. Plats et imperméables, ces bassins de rétention amenant à des bassins à faible profondeur permettent de récolter le sel obtenu par l’évaporation de l’eau de mer, grâce au vent et au effet, lorsque le sel ne baigne plus dans assez d’eau, les particules se rapprochent entre elles pour former des cristaux. La pluie est donc l’ennemi numéro 1 des paludier récolte le sel en surface, à la mains c’est la fleur de sel, c’est l’unique sel fin blanc sel plus gros tombe au fond, il est ramassé grâce au las ou simoussi. Sa couleur est grisâtre puisqu’il s’est déposé sur l’argile lors de l’évaporation. On nettoie les marais et on fait entrer le circuit d’eau au Printemps, on récolte en été, on récupère et redistribue le sel en Automne, on se repose en Hiver. 3. LE SEL DE TERRE On trouve aussi du sel sous la terre, dans des mines. Il y a 200 millions d’années, à la suite de nouveaux bouleversements géologiques, la mer s’est retirée laissant des lacs et des lagunes plein d’eau salée. Au fil des siècles, l’eau s’est évaporée, la concentration en sel a augmentée pour donner lieu à la cristallisation et petit à petit une couche de sel s’est déposée sur la couche terrestre. C’est le sel ne récolte pas le sel, on l’extrait. On descend au moins à 60 mètres jusqu’à 160 mètre sous terre. Le sel de terre ne se mange pas car il contient trop d’impuretés. Le raffinage serait trop long et trop du sel de terre sert au déneigement des routes. On en trouve également dans les solvants, dans la conservation du jambon, dans l’industrie chimique pour le PVC. Le sel est donc partout. Les autres sujets La gabelle, impôt sur le sel abolie trop tard le 1er janvier 1946 et le climat tempéré rendait les salines françaises de l’Atlantique moins compétitives que les salines portugaises ou espagnoles. De 1844 à 1846, les récoltes ayant été nulles, les pêcheurs eurent l’autorisation ministérielle de se ravitailler au Portugal. Dans le même temps, le développement des transports ferroviaires facilitait la circulation d’un sel qui ne dépendait plus du temps le sel gemme ou le sel de mine. Elle s’élève à 0,40F par kilo en 1818, Louis XVIII la ramène à 0,30F en 1814, la Seconde République la fait descendre jusqu’à 0,10F, puis elle remonte à 0,60F en 1926 et enfin à 1,34F en 1944. InfosDiffusionsCastingRésuméSabine et Jamy mettent le cap sur Aigues-Mortes, au sud-ouest de la Camargue. Depuis l'antiquité, l'homme y aménage d'immenses lagunes pour cultiver le sel de mer. Aujourd'hui, ces marais salants s'étendent sur 10 000 hectares et produisent 250 000 tonnes par an. Mais, derrière cette imposante activité économique se cache aussi un lieu de vie exceptionnel pour de nombreuses espèces, dont le majestueux flamant rose. Qu'est-ce que le sel ? Pourquoi y en a-t-il dans la mer ? Comment est-il récolté? Qu'est-ce que la fleur de sel ? Jamy revient sur les fondements de la culture de ce minéral si précieux autrefoisGenreMagazine - ScientifiqueAnnée de sortie2012AvecFrédéric Courant, Jamy Gourmaud, Sabine QuindouInfos supplémentaires—Avis des internautes 1Vous avez aimé ce programme ?

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