c est pas sorcier les filières de la viande

Unerapide recherche fait apparaître les C'est Pas Sorcier en cours de diffusion Dans une réponse au site Pagestec, les Les filières de la viande. 2215. Manon, Charlotte, Pompadour Histoires de pommes de terre. 2216. L’huile d’olive, l’huile aux trésors . 2217. Bière qui roule n’amasse pas mousse 2218. La conservation des aliments, c’est dans la boîte ! 2219. Fruits Lachaine officielle de l'émission de France 3.C'est pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science.Fred et Jamy nous offrent un petit éclairciss Lesfilières de la viande: 2000: Christine Berthollier: Fred et Jamy: Depuis un élevage, présentation des races de viande bovine que nous consommons ; comment les soigne-t-on et les nourrit-on ? Les produits laitiers: 2000: Christine Berthollier: Sabine et Jamy: La santé vient en mangeant ! Les secrets du chocolat: 2011: Yann L'Henoret: Sabine et Jamy: Les trésors des salins du midi: Cest pas sorcier anime une mini série web pour sensibiliser les consommateurs aux signes officiels de qualité des viandes, en collaboration avec Qualitivi.com, le programme d'information en ligne spécialisé dans ces Home/ Series / C'est pas sorcier / Aired Order / Season 2000 / Episode 6 Les filières de la viande Fred et Jamy nous offrent un petit éclaircissement sur la viande que nous mangeons. Ils se sont rendus dans un élevage afin de nous expliquer quelles races de viande bovine nous consommons et de quelle manière on les soigne et on les nourrit. Ils nous expliquent ensuite nonton film siyah beyaz ask sub indo. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus Accepter Documentaires LA FILIÈRE DE LA VIANDE - VHS Ref. TU9437 Emission C'EST PAS SORCIER - VHS. Le magazine de la science et de la découverte diffusé sur France 3. À bord d'un camion laboratoire, Fred le reporter et Jamy le pédagogue voyagent vers des sites insolites pour expliquer le monde qui nous entoure la nature, l'écologie, la technologie, la vie de tous les jours... Fred et Jamy décident d'observer de près la viande que nous mangeons. Ils se rendent dans un élevage afin d'expliquer quelles races de viande bovine nous consommons et de quelle manière on les soigne et les nourrit. Par la suite, ils parcourent la filière de la viande, de l'abattoir jusqu'à la distribution et s'attardent sur les contrôles vétérinaires qui sont effectués à chacune de ces étapes. Qu'est-ce que la maladie de la vache folle? Pourquoi l'Union Européenne a-t-elle levé l'embargo sur la viande d'origine anglaise? De quelles informations le consommateur dispose-t-il quand il achète de la viande? Que signifient les différents labels de qualité des poulets?... Intervenants Publié le 2 janv. 2017 à 101Quelle est la provenance du lait de votre yaourt ou de votre plateau de fromages ? Celle de la viande dans des tomates farcies, un sandwich ou une pizza ? A partir de ce lundi, l'étiquetage de l'origine des viandes dans les plats cuisinés, et celle du lait dans les produits laitiers, devient obligatoire en France. Une expérimentation unique en Europe menée sur deux ans, avant un premier industriels ont obtenu un délai de tolérance de trois mois, jusqu'à fin mars, pour écouler leurs stocks de produits déjà emballés ou d'emballages. Il est vrai que le gouvernement n'a pas perdu de temps sur ce dossier. Après des discussions engagées avec les industriels début 2016, il a publié un arrêté fin septembre fixant la mise en oeuvre trois mois plus tard. Un délai jugé très court par la profession, alors que lors de la dernière réforme européenne de l'étiquetage, les entreprises avaient bénéficié de trois ans pour appliquer les dispositions générales. Les imprimeurs se sont retrouvés avec une charge de travail trop importante. Même chose pour le délai de tolérance. Il aurait fallu au moins six mois pour être sûr d'écouler tous les stocks d'emballages existants », juge Philippe Gélin, directeur du pôle traiteur du groupe débat a aussi été âpre avec les associations de consommateurs et les agriculteurs sur les seuils. Le gouvernement a tranché en fixant un étiquetage obligatoire pour les plats contenant plus de 8 % de viande. Alors que les industriels militaient pour un taux de 25 %. La part montant à 50 % pour les produits laitiers. Les consommateurs verront apparaître sur les emballages de ces produits les pays de naissance, élevage et abattage des animaux pour la viande ou bien de collecte ainsi que de transformation pour le lait », précise le ministère de l'Agriculture. Si toutes ces opérations ont été effectuées dans un seul pays, il sera depuis le scandale de la viande de chevalL'enjeu de cette réforme ? Un souci de transparence », répond le ministère de l'Agriculture. Alors que 35 % des produits du panier de la ménagère les fruits et légumes et la viande fraîche donnent aujourd'hui cette information, on va monter à 70 % avec ce décret. Car il existe une forte demande des consommateurs pour savoir ce qu'il y a dans leurs assiettes, surtout depuis le scandale de la viande de par la concurrence mondiale, les éleveurs de bovins et les producteurs de lait espèrent aussi bénéficier de cet étiquetage pour doper leurs ventes. Est-ce certain ? Quand un industriel s'approvisionne en majorité en France, il sera tenté de s'y fournir en totalité pour éviter de gérer deux étiquetages », répond l'Adepale, l'Association des entreprises de produits alimentaires élaborés. Dans les autres cas, il pourrait se contenter d'afficher une origine Union européenne ». Car les prix des produits vont monter avec des composants issus de l'agriculture française. En 2012-2013, lorsque LDC a décidé de faire basculer les produits Marie sur un approvisionnement exclusivement français en porc, volaille et boeuf, le surcoût a été de 2,5 millions d'euros », indique Philippe dépendra donc de l'attitude de la grande distribution dans les négociations commerciales. Et aussi de ses cahiers des charges. Aujourd'hui, il est très rare qu'une enseigne demande une origine française dans le cahier des charges de ses MDD marques de distributeur », explique Philippe si quelque entreprises sont concernées, en majorité des PME, ce n'est pas le cas de leurs concurrents étrangers, qui approvisionnent le marché français. En attendant d'y voir plus clair, les industriels vont devoir financer un surcoût estimé à plusieurs dizaines de millions d'euros par l'Adepale. LDC, qui a revu les étiquettes de près d'un millier de références produits vendues sous MDD, évalue le sien à environ euros. L’Autorité de la concurrence a tranché. Insérer des clauses de révision et de lissage des prix dans les contrats commerciaux dans la filière de la viande ne va pas à l’encontre des règles de la concurrence. Une décision qui rassurent les industriels et agriculteurs du secteur, victimes de la hausse des prix des matières premières depuis plusieurs mois. "Ces clauses permettent aux opérateurs d'ajuster les prix lorsqu'est constatée une forte volatilité des prix des matières premières agricoles", souligne l’Autorité, qui explique que ces clauses sont fréquentes dans d’autres filières. Saisie par le gouvernement, l’Autorité devait trancher sur un accord signé par les filières bovine, porcine et avicole en mai. Il prévoyait la réouverture des négociations commerciales dès que les prix de l’alimentation animale dépassent une certaine cote d’alerte. Un mouvement applicable tant à la hausse qu’à la baisse. Le gendarme de la concurrence exige pourtant que la fixation des prix se fasse de manière autonome en fonction des coûts propres des opérateurs parties au contrat, sans atteinte à la liberté de négociation. Sujets associés Agro Consommation durée 002559 Fred et Jamy nous donnent quelques précisions sur la viande que nous mangeons. Ils sont allés dans une ferme pour nous expliquer quelles races de bétail nous mangeons et comment ils sont soignés et nourris. Ils expliquent ensuite tout, de l’abattoir à la distribution, et parlent des contrôles vétérinaires effectués à chacune de ces étapes. Quel genre de vaches mangeons-nous ? Qu’est-ce que la maladie de la vache folle ? Pourquoi l’Union européenne a-t-elle levé l’interdiction sur la viande d’origine anglaise ? Quelles sont les informations dont disposent les consommateurs lorsqu’ils achètent de la viande ? Que signifient les étiquettes sur les poulets . Vous pouvez tenter l’expérience, un jour, à la table familiale. Tu manges autant de viande qu’avant, toi ? » À l’exception de quelques inconditionnels de la bonne bidoche ou des tablées modestes où la viande demeure un produit trop cher pour être banal, on peut parier que beaucoup répondront Ah non, moi j’en mange beaucoup moins ! » Et de fait, si l’on s’en tient aux statistiques, les Français ont réduit leur consommation de chair animale depuis deux décennies entre 1998 et 2014, elle est ainsi passée, dans notre pays, de 94 kg ec/hab/an kilo équivalent carcasse par habitant et par an à 86 kg ec/hab/an 1.Sauf que cette baisse est intervenue après une explosion de la consommation de produits carnés dans la deuxième moitié du XXe siècle – on revient donc de loin ! Et que les impératifs environnementaux sont venus rebattre les cartes. D’après l’organisation WWF, la consommation de viande et de lait mobilise plus de 80 % de la surface agricole utile » à notre alimentation dans le monde. Ou, pour le dire d’une autre manière 2,5 à 10 kg de protéines végétales sont nécessaires pour produire… un seul kilo de protéines animales. Sans parler des émissions de gaz à effet de serre – l’organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation FAO estime que, toutes filières de production confondues, l’élevage représente aujourd’hui 14,5 % des émissions mondiales relatives à l’activité enjeu de santé publiqueDans un tel contexte, l’idée qu’il serait bon de manger moins de viande dans nos pays riches commence à gagner les esprits… Mais on ne sait pas très bien ce que cela signifie. Retour à la table familiale pour mesurer le brouillard. Agnès, 75 ans Pour moi, la viande, c’est la viande rouge ; le steak, quoi. J’ai grandi après-guerre, et en avoir une assiette bien garnie était très important. Mais, depuis quelques années, j’en mange moins. »Pour cette Parisienne, une tranche de jambon ou un blanc de poulet, ça ne compte pas vraiment. Alors que pour sa petite-fille Lucie, 15 ans, il faut prendre en compte toute la chair animale, y compris les lardons dans la quiche ». Pour l’adolescente, manger moins de viande a donc une autre signification privilégier, dans la semaine, plusieurs jours lors, comment s’y retrouver ? Et peut-on objectiver » le moins de viande » ? Du point de vue de la santé, oui. En se fiant notamment au PNNS, le Programme national nutrition santé 2019-2023. Il recommande de diminuer la consommation de viande rouge » pour ne pas dépasser 500 g par personne par semaine. Par viande rouge », il faut entendre le bœuf, le porc, le veau, le mouton, la chèvre, le cheval, le sanglier et la biche. Donc hors volaille. Le PNNS recommande également moins de 150 g de charcuterie par semaine. Manger de la viande n’est pas mauvais en soi, mais une consommation excessive comporte des risques », explique Jean-Michel Lecerf, chef du service de nutrition de l’Institut Pasteur de Lille 2. Parmi eux, celui de développer un cancer du côlon, une maladie cardiovasculaire ou un diabète de type 2. Ce n’est pas seulement lié au produit lui-même, tient à préciser le médecin, mais aussi au fait qu’une consommation trop importante de viande rouge va souvent de pair avec un moindre équilibre alimentaire et des modes de cuisson à éviter, comme les grillades. » Un nouvel équilibre »Soit. Mais si l’on prend en compte l’enjeu environnemental ? On pourrait aller plus loin et recommander une baisse plus importante que le repère actuel de 500 g par semaine », estime le professeur François Mariotti, spécialiste de nutrition à AgroParisTech, qui rappelle que la santé humaine s’inscrit dans la santé globale » du vivant. D’autant que Jean-Michel Lecerf le confirme du point de vue sanitaire, hormis quelques populations les enfants, les adolescents, les personnes âgées et les femmes enceintes, il est possible de se passer de viande si l’on mange par ailleurs des œufs et des produits un rapport de 2017, le think tank Terra Nova propose un nouvel équilibre » pour répondre au double défi santé/environnement. Comment ? En inversant le ratio actuel de protéines animales et végétales » ; soit une alimentation où 60 % des protéines seraient d’origine végétale, contre 40 % aujourd’hui 3. Un repère simple que les deux scientifiques, à Lille et AgroParisTech, estiment intéressant ». On ne peut pas demander à tout le monde de devenir végétarien, souligne de son côté Thierry Pech, le directeur du think tank, qui travaille de longue date sur la transition alimentaire. La nourriture, c’est aussi le plaisir, le terroir et l’imaginaire. » Le ratio proposé se veut donc accessible, compromis entre les traditions alimentaires », les exigences sanitaires », les impératifs environnementaux » et les intérêts économiques », précise Terra Nova, qui n’oublie pas, dans ses travaux, de prendre en compte les conséquences pour les éleveurs 4.

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